11 avril 2006
A nous !
Eloïse Mathews fit glisser sa main le long de la nuque de l'homme, passant ses doigts dans ses cheveux et lui entrant les ongles dans la peau. Ses yeux n'étaient plus fermés. C'étaient deux fentes noires et rieuses. "C'est la vie", chantonna-t-elle d'une petite voix amère et moqueuse en se laissant tomber sur le banc. L'attirant sur elle, elle chercha sa bouche.